Bioacoustique et IA au service des élevages avicoles
L’ITAVI, accompagné de ses partenaires Ethos, Advanciel et Idele, vient de démarrer ce projet qui vise à identifier les vocalisations des animaux, positives ou négatives (confort, stress, état de santé, ..), pour en constituer une base et suivre leur évolution.
Si de nombreuses études ont déjà été conduites en milieu expérimental, la spécificité d’Acoust’chick est de privilégier des conditions d’élevage réelles. Contact : Pauline Créach – creach@itavi.asso.fr
PHACELIE, le projet « escargots », co-porté par l’ITAVI et la FNHF* est officiellement lancé ! Réunis pour un COPIL de lancement le 12 mars, les acteurs de ce projet de relance de l’héliciculture en France ont profité de cette journée pour constituer des groupes de travail thématique et visiter un élevage, celui de L’escargot du Rozay ( GAEC Ogier) à Condrieu, dans le Rhône.
Au programme : visite du laboratoire de transformation, du local de production et des parcs à escargots.
En février 2025, les cours mensuels des matières premières, lissés sur trois mois, progressent pour le blé (+ 1,7 %) et le maïs (+ 0,7 %) par rapport au mois précédent. Les cours des tourteaux sont en baisse pour le soja non-OGM (- 2,0 %) et le soja (- 0,2 %), tandis qu’ils progressent pour le colza (+ 2,8 %) et le tournesol (+ 2,1 %). Les cours sont en baisse pour la luzerne (- 3,5 %) et la pulpe de betterave (- 1,3 %).
Avec des cotations en hausse pour une partie des matières premières, les indices calculés par l’ITAVI en février 2025 (base 100 en janvier 2014) progressent pour toutes les espèces.
Par rapport à janvier 2024 : l’indice matières premières progresse pour le poulet standard (+ 0,3 %), la poule pondeuse (+ 0,6 %) et la dinde (+ 0,3 %). L’évolution de l’indice s’échelonne entre + 0,6 % (canard gras) et + 0,3 % (pintade) pour le reste des espèces.
+59 % : c’est la hausse des importations d’œufs et d’ovoproduits de l’UE en provenance d’Ukraine pour la période du 1er janvier au 2 mars 2025, par rapport à la même période en 2024. Cette augmentation est principalement due à la hausse des importations, notamment en œufs coquille, enregistrée par l’Italie (+282 %), la Tchéquie (+266 %), ainsi que par la Croatie, les Pays-Bas et la Suède. En 2025, la Croatie devient le premier importateur d’œufs ukrainiens avec 35 % des importations, devant l’Italie (17%).
Les volumes importés durant cette période (10 semaines) ont atteint 12 240 tonnes, soit 15 740 tonnes équivalent œufs coquille (téoc). Le seuil de déclenchement de la clause de sauvegarde pour l’année 2024 était défini à 23 189 tonnes. Ce seuil a été largement dépassé en 2024 (+248 %). En 2025, le seuil sur la période du 1er janvier au 5 juin 2025 (date de la fin des mesures de suspension des droits de douane) a été défini comme les 5/12e du seuil retenu en 2024, soit 9 662 tonnes. Ce seuil a été dépassé à 127 % dès la première semaine de mars. La Commission européenne devrait instaurer des droits de douane dans les 14 jours suivants. Les importations d’œufs continuent de progresser, dans un contexte de pénurie sur le marché de l’UE et de forte compétitivité des prix ukrainiens. Depuis le début de l’année, les importations ont augmenté de 59 % par rapport à la même période en 2024.
Contrairement aux œufs, les importations de volailles ont enregistré une baisse de 23 % par rapport à 2024. Cette diminution est principalement due à la forte baisse des importations de la Slovaquie (-74 %) et des Pays-Bas (-16 %).
Importations de l’UE en volaille et œufs depuis l’Ukraine
FORMATION
Témoignage
Céline Rousseau, Directrice de MOBA France, partage son expérience enrichissante lors de la formation Eco ENJEUX du 12 mars dernier.
[...] J’ai souhaité, à l’occasion de cette formation, challenger justement mes connaissances et les compléter.[...]
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